In the exhibition hall in La Châtre we looked at an exhibition displaying the resistance movement in France and in other parts of the world.
It began with a presentation of the French women who fought in the resistance movement during WWII.
It also gave a presentation of the women from other countries fighting for the liberation of France and even fighting in this area of France, Le Centre.
These women came from Poland, Denmark, Germany, Italy, Spain, Hungary and many other countries (though not Sweden of course!).
The exhibition then went on to present women fighting for human rights all over the world, with names like Taslima Nasreen, Anna Politkovskaia, Shirin Ebadi, Rigoberta Menchú Tum, Aung San Suu Kyi, Mother Teresa and others.
« Résistance(s) » est une double exposition qui se décline autour du thème universel et intemporel de la résistance et de l’engagement : il a semblé intéressant d’associer ces deux expositions qui abordent à leur manière (historique, photographique ou documentaire) le sujet universel et intemporel de la Résistance et du combat.
« Parcourir un tel témoignage en faveur de la reconnaissance des femmes, aussi universel, aussi contemporain, ne peut que nous encourager toutes à poursuivre nos combats. »
Talisma Nasreen, écrivaine bangladaise, Prix Sakharov 1994
- Grandes résistantes contemporaines
Exposition de Pierre-Yves Ginet
Présentation de l’engagement continu de « nos » grandes résistantes aux femmes emblèmes de la paix dans le monde à travers 26 portraits de grandes figures féminines engagées.
Des combats contemporains des grandes résistantes françaises de la seconde guerre mondiale à Anna Politkovskia, nombreuses sont les femmes qui écrivent l’histoire de notre temps. Pour elles, lutter est souvent un mode de vie, comme le montre l’engagement de nos grandes résistantes, ici ou ailleurs, hier comme aujourd’hui, reconnues ou non...
A travers le prisme du rôle de ces femmes, l’exposition aborde des questions-clés telles que le respect des minorités, des luttes contre des lois injustes, les combats pour gagner une citoyenneté pleine et entière...
Cette exposition a été crée avec le Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation de Lyon. Elle est une réalisation de Pierre-Yves Ginet, photojournaliste attaché à la prestigieuse agence Rapho. Son travail est exclusivement dédié à ce projet depuis 1998 et l’exposition concrétise son intention de témoigner des actions conduites de par le monde par des femmes ou groupes de femmes, en matière de respect et de préservation des droits humains, de solidarité.
Sur ce thème, aucun photographe n’avait jamais poussé si loin son étude.
- Les étrangers dans la résistance (1939-1945)
Exposition du Musée de la Résistance Nationale (Champigny-sur-Marne)
Présentation de l’engagement des étrangers dans la résistance sous l’occupation allemande sous la forme de 16 panneaux illustrés et commentés.
On très peu parlé des étrangers dans l’histoire de la Résistance. Ils sont venus de lieux et pour des raisons différentes s’engager dans le combat de la France Libre.
Certains étaient des antifascistes allemands qui choisirent de quitter leur pays dès l’avènement de Hitler en 1933, d’autres sont venus d’Espagne pour fuir Franco à partir des années 1935-1936.
Certains, encore, que l’on qualifiait de MOI (Main d’Œuvre Immigrée), venus travailler en France se sont regroupés autour de Nissak Manouchian pour lutter contre le régime fasciste et collaborationniste.
(JPG)
Olga Bancic
Olga Bancic était de ceux là. Juive, née en Roumanie en 1912, elle vit à Paris quand éclate la guerre. Elle s’engage auprès des FTP MOI de la région parisienne et aux côtés de leur chef Manouchian. Elle est arrêtée par la gestapo et emprisonnée en Allemagne. Elle sera décapitée à la hache dans la cour de la prison de Stuttgart, le jour de son 32ème anniversaire, le 10 mai 1944.
Dans des vitrines seront présentés des archives et documents de la Seconde Guerre Mondiale, comme autant de témoignages locaux de l’engagement des étrangers et des femmes dans la Résistance. Un panneau évoquera tout particulièrement l’engagement des étrangers dans la résistance, dans le département de l’Indre.
Un prénommé « Julius » sera évoqué. Ancien soldat des armées nazies, il choisira de déserter la base de la Martinerie et de rejoindre le maquis Indre-Est, près de La Châtre. Il fournira des informations importantes, transmises à Londres.
Dans le cadre de la journée nationale de la création du Conseil National de la Résistance, le 27 mai 1943, le comité local de l’ANACR commémorera cet évènement le jeudi 27 mai 2010 par une cérémonie de remise de gerbe et de parcours tout au long de la rue nationale jusqu’au monument aux Morts. A cette occasion, et ce comme chaque année, les écoles, collèges et lycées de la région seront associés au défilé.
(Photo Aung San Suu Kyi copied from: http://www.buddhachannel.tv/portail/local/cache-vignettes/L260xH320/aung_san_suu_kyi-3-c5552.jpg)
(Photo Rigoberto Menchu copied from: http://www.literaturismena.com/espacehispano/rigoberta_menchu/0819_rmt.jpg)
(Photo Shirin Ebadi copied from: http://www.smh.com.au/ffxImage/urlpicture_id_1070732295389_2003/12/11/240shirin_ebadi,0.jpg)
(Photo Taslima Nesrin copied from; http://www.hindu.com/2007/10/06/images/2007100660621301.jpg)
(Photo Anna Politkovskaia copied from: http://www.elle.fr/var/plain_site/storage/images/societe/news/un-documentaire-sur-anna-politkovskaia-au-cinema/12717150-1-fre-FR/Un-documentaire-sur-Anna-Politkovskaia-au-cinema_mode_une.jpg)
No comments:
Post a Comment